Benoit Montalan

Benoit-Montalan

Maître de conférences HDR en psychologie sociale

Membre de l'équipe Investigation, Intervention, Changement : du psychologique au sociétal (2ICPS) 

  https://www.researchgate.net/profile/Benoit-Montalan
  https://orcid.org/0000-0001-6951-9650
  benoit.montalan@univ-rouen.fr
   02.35.14.70.10
  Bâtiment Satie (S206), UFR SHS, Université de Rouen Normandie, rue Lavoisier 76821 Mont Saint Aignan Cedex

Activité de recherche

Mon activité scientifique au sein de l’Université de Rouen Normandie (URN) a débuté en septembre 2012 au sein du département de Psychologie en tant que maître de conférences en Psychologie sociale et en tant que membre du laboratoire ICONES dirigé par le professeur Mohamed REBAI. Cette nomination a succédé à deux contrats post-doctoraux réalisés, pour le premier, au sein du Laboratoire de Neurosciences Fonctionnelles et Pathologies (FRE3291 CNRS) à l’UFR de Médecine de l’Université de Picardie Jules Verne du 01/09/2010 au 31/08/2011 et, pour le second, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives (INSERM Unité 960) à l’École Normale Supérieure du 01/09/2011 au 31/08/2012. Depuis la fusion le 1er janvier 2017 des deux laboratoires de Psychologie rouennais (ICONES et PSY-NCA), je suis membre de l’équipe de recherche « Investigation, Intervention, Changement : du psychologique au sociétal » (2ICPS) du Centre de Recherche sur les Fonctionnements et Dysfonctionnements Psychologiques (CRFDP EA 7475) actuellement dirigé par le professeur Didier DRIEU. L’équipe 2ICPS étudie selon une double perspective fondamentale et appliquée les processus psychosociaux dans le champ de la santé, de l’environnement, du travail et de la formation. Un des points forts de l’équipe 2ICPS est qu’elle est pluri-sous-disciplinaire impliquant la psychologie sociale, la psychologie du travail, la psychologie cognitive et la psychopathologie. Cette pluralité lui permet d’aborder les sujets de recherche selon divers points de vue, approches, outils, théories et épistémologies. À titre personnel, mon activité de recherche s’articule autour de trois principaux axes de recherche synthétisées ci-dessous.

Axe 1. La stigmatisation des différences faciale et/ou vocale

Principales sources d’informations sur nos congénères, le visage et la voix jouent un rôle primordial dans les interactions sociales. Cependant, des altérations – concomitantes ou non – de ces deux percepts peuvent survenir dès la naissance, du fait d’une pathologie congénitale, ou être acquises suite à un accident ou consécutivement à un traitement médicamenteux ou chirurgical pour un cancer. Selon leur gravité, ces altérations peuvent plus ou moins « défigurer » le visage et/ou la voix et entraver subséquemment de manière plus ou moins importante les interactions sociales de la personne ainsi défigurée. Ces défigurations – ou plutôt différences – faciale et/ou vocale s’apparentent dès lors à des stigmates. Pour Erwin Goffman (1975, p.7), un stigmate désigne « (…) la situation de l’individu que quelque chose disqualifie et empêche d’être pleinement accepté dans la société. ». Autrement dit, « (…) un individu qui aurait pu aisément se faire admettre dans le cercle des rapports sociaux ordinaires possède une caractéristique telle qu’elle peut s’imposer à l’attention de ceux d’entre nous qui le rencontrent, et nous détourner de lui, détruisant ainsi les droits qu’il a vis à vis de nous du fait de ses autres attributs Il possède un stigmate, une différence fâcheuse d’avec ce à quoi nous nous attendions. » (1975, p.15). Depuis les travaux de Goffman, la recherche en psychologie sociale – et en sociologie – a développé plusieurs cadres conceptuels de la stigmatisation. Celui proposé par Pryor et Reeder (2011, cité par Bos et al., 2013) comporte quatre composantes interdépendantes : (1) la stigmatisation publique (public stigma) qui renvoie aux réactions sociales et psychologiques des gens face à une personne qu'ils perçoivent comme ayant une condition stigmatisée ; (2) l'auto-stigmatisation (self-stigma) qui correspond à l'impact social et psychologique d'avoir une condition stigmatisée ; (3) la stigmatisation par association (stigma by association) qui désigne les réactions sociales et psychologiques face aux personnes associées à une personne stigmatisée ; (4) la stigmatisation structurelle (structural stigma) qui relève de la perpétuation et de la légitimation de la stigmatisation par les institutions et les systèmes idéologiques. La stigmatisation publique occupe une place centrale au sein de ce modèle. En effet, le stigmate n’est pas un attribut en soi : il se définit dans le regard et s’exprime dans les réactions d’autrui. Ces réactions stigmatisantes peuvent se manifester aux niveaux cognitif, affectif et/ou comportemental. Les réactions cognitives reflètent souvent des stéréotypes, les réponses affectives démontrent des préjugés, et les réactions comportementales s’expriment sous la forme de discriminations (Bos et al., 2013). Les travaux réalisés au sein de cet axe de recherche se focalisent sur l’étude de ces réactions sociales – cognitive, affective et/ou comportementale – auxquelles les personnes avec un visage et/ou une voix « différente » sont susceptibles d’être confrontées dans la sphère publique. Comprendre les manifestations publiques aux différences faciale (DF) et/ou vocale (DV) présente un enjeu important car elles ont un impact psychosocial sur la qualité de vie (cf. l’auto-stigmatisation) et l’intégration sociale des personnes atteintes de DF et/ou de DV. Par exemple, la laryngectomie totale qui consiste en l'ablation totale du larynx (organe de la voix) s'impose, avec son fardeau de séquelles spécifiques et irréversibles, comme une chirurgie des plus mutilantes et source de stigmates (i.e., la voix de substitution et le trachéostome).

En collaboration avec Pauline Rasset (MCF en Psychologie sociale à l’Université de Rennes 2), Jessica Mange (PU en Psychologie sociale à l’Université de Caen Normandie), Sarah E Stutterheim (MCF en Psychologie sociale de la santé à l’Université de Maastricht), Virginie Beaudouin (MCF en Neurosciences cognitives à l’Université de Rouen Normandie), Alexis Payen (Doctorant en Psychologie sociale à l’Université de Rouen Normandie), Emmanuel Babin (PUPH dans le service ORL du CHU de Caen), Jean-Paul Marie (PUPH dans le service ORL du CHU de Rouen).

Axe 2. Les inégalités de sexe en matière d'orientation scolaire et professionnelle

En dépit des diverses incitations politiques et des multiples dispositifs mis en place au sein du système éducatif, les choix des filières de formation et des métiers restent à ce jour largement genrées. Si les femmes représentent la moitié des personnes scolarisées (51,40%, Repères Et Références Statistiques, 2018), elles restent minoritaires dans certaines filières. Cette répartition inégalitaire n’est pas toujours en défaveur des femmes. Certaines filières restent, en effet, « désertées » par les hommes comme c’est le cas, par exemple, des filières sociales et paramédicales. Cette division sexuée de l’orientation peut difficilement s’expliquer par les performances académiques puisque les femmes témoignent d’un meilleur niveau que les garçons, que ce soit à l’épreuve du brevet, du CaP ou du baccalauréat (Ministère des Familles, de l’Enfance et des Droits des Femmes, 2016). À terme, cette disparité se répercute au niveau de l’insertion professionnelle. Les filles et les garçons s’orientent vers des métiers stéréotypés, c’est-à-dire typiques de leur genre, les filles étant sur-représentées dans les filières tertiaires et les hommes dans le domaine de la production (Capdevielle-Mougnibas, 2010). Ainsi, ce sont bien « [d]es inégalités d’orientation qui, bien plus que les inégalités de réussite, modèlent les inégalités de carrière entre les sexes […] » (Duru-Bellat, 2004, p. 70). Ces inégalités d’orientation ont été, en grande partie, examinées en plaçant le ou la jeune – et les représentations qu’il ou elle se construit de lui ou d’elle-même – au centre des réflexions (e.g., Bastoul, de Bosscher, & Przygodzki-Lionet, 2016). Cette centration sur l’individu apporte de nombreuses réponses, mais omet d’interroger directement le rôle des équipes éducatives et des pairs dans la construction et la réalisation des choix d’orientation scolaire et professionnelle atypique. Si l’école et, en particulier, les équipes éducatives et les pairs, sont susceptibles d’influencer les élèves dans leur rapport à leur orientation, il s’agit d’en préciser les modalités d’expression et d’en quantifier les effets. Cet axe de recherche constitue en outre l’un des axes du projet Orlysup (Orientation du lycée au supérieur) porté par Mme Carole Daverne-Bailly dont l’ambition est d’étudier le processus d’orientation du secondaire au supérieur, en réunissant, dans une même équipe, des chercheurs qui travaillent sur ces deux segments du système éducatif. Le projet Orlysup est soutenu par le Programme d’investissements d’avenir (PIA3) « 100% Inclusion, un Défi, un Territoire » porté par l’Université de Picardie Jules Verne.

En collaboration avec Cindy Carrein-Lerouge (MCF en Psychologie du travail à l’Université de Rouen Normandie).

Axe 3. Les antécédents et les conséquences de la déshumanisation organisationnelle

La déshumanisation organisationnelle (DO) correspond à l’expérience qu’un travailleur peut faire lorsqu’il se sent objectifié par son organisation, dénué de subjectivité personnelle et considéré comme un simple outil ou instrument dédié aux objectifs de son organisation (Bell & Khoury, 2011, 2016). Les facteurs organisationnels susceptibles de conduire à une déshumanisation des salariés s’observeraient de plus en plus aujourd’hui dans les contextes de travail et seraient en outre considérés comme légitimes pour l’atteinte de résultats individuels ou organisationnels (Christoff, 2014). Les travaux menés dans le cadre de cet axe de recherche visent, d’une part, à identifier les facteurs organisationnels susceptibles de favoriser un tel sentiment de déshumanisation chez les travailleurs et, d’autre part, à spécifier les répercussions de ce dernier sur différentes variables psychologiques et comportementales. Par exemple, dans le cadre de la thèse réalisée par M. Jean-Félix Hamel, nous nous sommes interrogés sur le caractère déshumanisant de l’ubérisation et des formes d’emploi et de travail qui en découlent (i.e., le travail ubérisé). Les résultats ont révélé que les travailleurs ubérisés sont particulièrement vulnérables à la DO comparativement aux employés traditionnellement étudiés en psychologie du travail et des organisations. L’ubérisation et ses incarnations véhiculent une vision strictement économique et dès lors déshumanisée du travail humain, rendant la perspective d’une généralisation de ces phénomènes d’autant plus alarmante.

En collaboration avec Jean-Félix Hamel (docteur en Psychologie du travail de l’Université de Rouen Normandie), Fabrizio Scrima (PU en Psychologie du travail à l'Université Kore d'Enna, Italie) et Arnaud Villieux (MCF en Psychologie du travail à l’Université de Rouen Normandie).

Publications

Articles publiés ou acceptés dans des revues internationales à comité de lecture
[1]        Hamel, J-F., Villieux, A., Montalan, B., & Scrima, F. (accepté). Un outil n’est pas fait pour s’épanouir. Le rôle médiateur de l’auto-objectification entre la déshumanisation organisationnelle et l’épanouissement psychologique au travail. Psychologie du Travail et des Organisations.
[2]        Rasset, P., Montalan, B., & Mange, J. (accepté). Only human after all? A pre-registered study on gaze behavior and humanity attributions to people with facial difference. PLOS ONE.
[3]        Hamel, J. F., Scrima, F., Massot, L., & Montalan, B. (2023). Organizational Culture, Justice, Dehumanization and Affective Commitment in French Employees: A Serial Mediation Model. Europe's journal of psychology, 19(3), 285–298. https://doi.org/10.5964/ejop.8243
[4]        Scrima, F., Foddai, E., Hamel, J-F., Carrein, C., Codou, O., Montalan, B., Vallée, B., Zerhouni, O., Rioux, L., & Marchesa, P. (2022). Workplace Aesthetic Appreciation and Exhaustion in a COVID-19 Vaccination Center: The Role of Positive Affects and Interest in Art. International Journal of Environmental Research and Public Health, 19(21), 14288. https://doi.org/10.3390/ijerph192114288
[5]        Rasset, P., Mange, J., Montalan, B., & Stutterheim, S. E. (2022). Towards a better understanding of the social stigma of facial difference. Body image, 43, 450–462. https://doi.org/10.1016/j.bodyim.2022.10.011
[6]        Rasset, P., Mange, J., & Montalan, B. (2022). (Un)veiling distinct feelings: A typology of affective reactions while meeting people with facial disfigurement for the first time. Stigma and Health. Advance online publication. https://doi.org/10.1037/sah0000364
[7]        Rasset, P., Mange, J, & Montalan, B. (2022). Look me in the eyes! A pre-registered eye-tracking study investigating visual attention and affective reactions to faces with a visible difference. Body Image, 40, 67-77. https://doi.org/10.1016/j.bodyim.2021.10.010
[8]        Rasset, P., Montalan, B., Mauny, N., Boudjemadi, V., & Mange, J. (2022). Not All ‘Intouchables’: Variations in Humanness Perceptions between Physical and Mental Disability. International Review of Social Psychology, 35(1), 7, 1-16. https://doi.org/10.5334/irsp.596
[9]        Vallée, B., Magoutier, F., Voisin, D., & Montalan, B. (2020). Reducing the effects of the stereotype threat that girls perform less well than boys in mathematics: the efficacy of a mixed debate in a real classroom situation. Social Psychology of Education, 23(5), 1327–1341. https://doi.org/10.1007/s11218-020-09583-x
[10]      Carrein-Lerouge, C., Gras, A., Le Pottier, A., & Montalan, B. (2019). Stéréotypes de sexe et effet rebond : quelles répercussions sur les acteurs du système éducatif confrontés à des choix d’orientation atypiques ? L’Orientation Scolaire et Professionnelle, 48/4, 491-515. https://doi.org/10.4000/osp.11404
[11]      Eskenazi, T., Montalan, B., Jacquot, A., Proust, J., Grèzes, J., & Conty, L. (2016). Social influence on metacognitive evaluations: The power of nonverbal cues. Quarterly journal of experimental psychology (2006), 69(11), 2233–2247. https://doi.org/10.1080/17470218.2015.1115111
[12]      Jacquot, A., Eskenazi, T., Sales-Wuillemin, E., Montalan, B., Proust, J., Grèzes, J., & Conty, L. (2015). Source unreliability decreases but does not cancel the impact of social information on metacognitive evaluations. Frontiers in psychology, 6, 1385. https://doi.org/10.3389/fpsyg.2015.01385
[13]      Lelard, T., Montalan, B., Morel, M. F., Krystkowiak, P., Ahmaidi, S., Godefroy, O., & Mouras, H. (2013). Postural correlates with painful situations. Frontiers in human neuroscience, 7, 4. https://doi.org/10.3389/fnhum.2013.00004
[14]      Montalan, B., Veujoz, M., Boitout, A., Leleu, A., Camus, O., Lalonde, R., & Rebaï, M. (2013). Investigation of effects of face rotation on race processing: an ERPs study. Brain and cognition, 81(3), 360–369. https://doi.org/10.1016/j.bandc.2012.12.004
[15]      Montalan, B., Lelard, T., Godefroy, O., & Mouras, H. (2012). Behavioral investigation of the influence of social categorization on empathy for pain: a minimal group paradigm study. Frontiers in psychology, 3, 389. https://doi.org/10.3389/fpsyg.2012.00389
[16]      Leleu, A., Caharel, S., Carré, J., Montalan, B., Afrani-Jones, A., Vom Hofe, A., Charvin, H., Lalonde, R., & Rebaï, M. (2012). Asymmetric switch-costs and ERPs reveal facial identity dominance over expression. Acta psychologica, 139(3), 492–500. https://doi.org/10.1016/j.actpsy.2012.01.004
[17]      Montalan, B., Boitout, A., Veujoz, M., Leleu, A., Germain, R., Personnaz, B., Lalonde, R., & Rebaï, M. (2011). Social identity-based motivation modulates attention bias toward negative information: an event-related brain potential study. Socioaffective neuroscience & psychology, 1, 5892. https://doi.org/10.3402/snp.v1i0.5892
[18]      Caharel1, S., Montalan[1], B., Fromager E., Bernard, C., Lalonde, R., & Rebaï, M. (2011). Other-race and inversion effects during the structural encoding stage of face processing in a race categorization task: An event-related brain potential study. International Journal of Psychophysiology, 79(2), 266-271. https://doi.org/10.1016/j.ijpsycho.2010.10.018
[19]      Leleu, A., Caharel, S., Carré, J., Montalan, B., Snoussi, M., Vom Hofe, A., Charvin, H., Lalonde, R., & Rebaï, M. (2010). Perceptual interactions between visual processing of facial familiarity and emotional expression: an event-related potentials study during task-switching. Neuroscience letters, 482(2), 106–111. https://doi.org/10.1016/j.neulet.2010.07.008
[20]      Montalan, B., Caharel, S., Le Dantec, C., Personnaz, B., Germain, R., Bernard, C., Lalonde, R., & Rebaï, M. (2008). Sensitivity of N170 and late positive components to social categorization and emotional valence. Brain Research, 1233, 120-128. https://doi.org/10.1016/j.brainres.2008.07.055
Articles soumis ou en révision dans des revues internationales à comité de lecture
[1]        Hamel, J-F., Montalan, B., & Scrima, F. (en révision). Disregarded and Dehumanized: A Cross-sectional Analysis of Digital Platform Workers’ Experience. Current Psychology.
Articles publiés dans des revues nationales sans comité de lecture
[1]        Montalan, B. (2022). Les apports de la psychologie sociale à la pratique des cadres de santé. Soins Cadres, 31(135), 49-52. http://doi.org/10.1016/j.scad.2022.03.020
Communications dans des colloques scientifiques nationaux ou internationaux
[1]        Montalan, B., Hébrard, P. & Carrein-Lerouge, C. (2023, juin). Stéréotypes de sexe : quels effets sur la perception de la pratique musicale, sur les performances perçues et anticipées et sur leur explication ? [Communication orale]. Journées thématiques de l’ADRIPS sur les inégalités, Poitiers.
[2]        Payen, A., Levistre, M., Beaucousin, V., & Montalan, B. (2023, août). Affective reactions to people with alaryngeal voice: moderation effect of stigma onset-controllability. [Communication orale]. 2023 ESCON Transfer of Knowledge Conference, Nijmegen.
[3]        Payen, A., & Montalan, B. (2022, juillet). L’effet « Mouton de Panurge » : déshumanisation animalistique et démentalisation d’une cible conformiste, rôle modérateur de la croyance envers le libre-arbitre et de la typicité du comportement. [Communication orale]. 14ème Congrès International de Psychologie Sociale, Bordeaux, France.
[4]        Payen, A., & Montalan, B. (2021, novembre). Be a Panurge’s Sheep: Explicit and Subtle Animalistic Dehumanization of Conformist Targets. [Communication affichée]. 16ème Journée Scientifique des Jeunes Chercheurs en Psychologie, Zoom.
[5]        Hamel, J.F., Scrima, F. & Montalan, B. (2021, novembre). Human Cogs and Digital Machines: An Exploration of Organizational Dehumanization in Digital Platform Workers. [Communication affichée]. 16ème Journée Scientifique des Jeunes Chercheurs en Psychologie, Zoom.
[6]        Prost, M. & Montalan, B. (2019, septembre). Perception d’humanité et comportements hostiles dans un contexte inter-espèce : la sur-humanisation de l’endogroupe. [Communication orale]. 60ème Congrès de la SFP, Poitiers, France.
[7]        Rasset, P., Montalan, B., & Mange, J. (2019, juin). Variations dans la perception d'humanité de l'exogroupe en situation de handicap. [Communication orale]. 14ème Colloque Jeunes Chercheurs, Montpellier, France.
[8]        Montalan, B. & Carrein-Lerouge, C. (2019, septembre). Effets de la typicité des choix d’orientation et du contrôle des stéréotypes sur les décisions d’orientation des équipes éducatives [Communication orale]. 60ème Congrès de la SFP, Poitiers, France.
[9]        Guédon, D., Montalan, B., & Léonard, J. (2018, juillet). Le style de conduite « impulsif / réfléchi » à la lumière de la difficulté des items et du niveau de confiance des individus. [Communication orale]. 23ème Journées Internationales de Psychologie Différentielle, Luxembourg.
[10]      Montalan, B., Priolo, D., & Vaidis, D. (2018, juillet). Le mensonge est-il une stratégie adaptée pour réduire l'inconfort psychologique induit par la transgression d'une norme anti-raciste ? [Communication orale]. 12ème Congrès International de Psychologie Sociale en Langue Française, Louvain-la-Neuve, Belgique.
[11]      Vallée, B., Magoutier, F., & Montalan, B. (2018, juillet). Atténuer les effets de la menace du stéréotype « les filles sont moins performantes que les garçons en mathématiques » : l'efficacité du débat argumenté mixte en situation de classe réelle. [Communication orale]. 12ème Congrès International de Psychologie Sociale en Langue Française, Louvain-la-Neuve, Belgique.
[12]      Montalan, B., Caharel, S., Lalonde, R., & Rebaï, M. (2010, avril). An ERP investigation of the time course of social category information and emotional expression processing. [Communication orale]. Third European Conference on Emotion – CERE 2010, Université Charles de Gaulle - Lille 3, France.
[13]      Montalan, B., Caharel, S., Germain, R., & Rebaï, M. (2009, juillet). Investigation électrophysiologique et comportementale des processus perceptifs impliqués dans le traitement des expressions faciales de différents groupes ethniques. [Communication orale]. Journées thématiques « Emotions en Psychologie Sociale », Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France.
[14]      Montalan, B., Germain, R., Personnaz, B., Bernard, C., & Rebaï, M. (2008, août). Identité sociale, motivation et attention. Etude électrophysiologique par la mesure de potentiels évoqués visuels. [Communication orale]. 7ème Congrès International de Psychologie Sociale en Langue Française (CIPSLF), Iasi, Roumanie.
[15]      Montalan, B., & Rebaï, M. (2007, novembre). Etude par les potentiels évoqués du biais de négativité dans une situation d’appartenance sociale. [Communication orale]. 1er Colloque Normand « Jeunes Chercheurs en Psychologie », Université de Rouen, France.

[1] La contribution des deux premiers auteurs est équivalente.

Enseignement

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Autres informations

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